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Dans ce numéro : l’enseignement forestier dans le bassin du Congo : les impacts de la COVID-19 ; Enseigner au coeur de la GDF ; Cameroun: l’École nationale forestière ; Pandémie: pandémonium dans le secteur des bois tropicaux ; La chronique du Directeur exécutif ; L’enseignement forestier en Afrique: un impératif durable...
Un enseignement forestier en évolution dans le bassin du Congo
Si la maîtrise des métiers forestiers n’a jamais été une simple promenade de santé (en forêt), réussir à répondre aux besoins du développement durable des forêts constitue toutefois une mission d’une complexité grandissante. En effet, outre les domaines traditionnels tels l’écologie des forêts, le mesurage, la planification et l’économie, les forestiers doivent aujourd’hui intégrer les démarches paysagères intégrées, la gestion forestière participative, les nouvelles technologies ou encore le changement climatique.
L’enseignement forestier en Afrique: un impératif durable
Selon un forestier de la nouvelle génération, il faut de toute urgence rehausser la qualité de l’enseignement forestier supérieur.
La ligne entre les régimes de transfert des connaissances et la manière d’utiliser les ressources est si ténue que l’inefficacité des premiers se répercutera sur le second sous la forme d’une exploitation non viable. En effet, l’ineffectivité d’un transfert de connaissances se traduira inévitablement par des pertes significatives tout au long de la chaîne de valeur, la dégradation de la base de ressources et des pratiques forestières illicites, entre autres indicateurs.
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