Comparativement à plus qu’il y a 30 ans, les gaz à effet de serre sont montés jusqu’à 50%. La température de la surface du globe s’est élevée d’1,1°C et cela augure que d’ici 2030, 1 milliard de personnes pourraient vivre dans des zones côtières à risques. C’est une menace sérieuse que le réchauffement climatique impose à la planète ainsi qu’aux êtres qui en dépendent, mais les solutions d’atténuations sont envisageables, faudra-t-il alors qu’il y ait un engagement, une volonté et un passage décisif aux actions.
Ces révélations qui gisent dans le rapport du groupe International d’Études sur le climat (GIEC) publié le 20 Mars 2023, suscitent des inquiétudes.
Les effets du réchauffement climatique…
Augmentation de la température de la surface du globe à 1,1 °C par rapport à la période pré-industrielle, accentuation jusqu’à 50 % des gaz à effet de serre plus qu’il y a 30 ans,… le 6e rapport d’évaluation du GIEC prévient déjà que les effets de ce phénomène attendent être encore beaucoup plus amplifiés.
Le GIEC atteste d’une augmentation des risques, allusion faite aux vagues de chaleur, les précipitations extrêmes, les sécheresses, la fonte de la cryosphère, le changement du comportement de nombreuses espèces, le recul des glaciers, l’apparition des extrêmes chauds plus fréquents et plus intenses et la baisse des extrêmes froids…
La planète est en danger! Mais comment la sauver ?
Le groupe international d’études sur le climat GIEC fait croire qu’on doit donner la priorité à l’équité, à la justice climatique, à la justice sociale, à l’inclusion et à des processus de transition justes << pour permettre des mesures d’adaptation et d’atténuation ambitieuses ainsi qu’un développement résilient au climat >>.
Ainsi, GIEC soutient que les solutions doivent être multidimensionnelles: techniques, sociales et technologiques pour << réduire nos émissions de CO2 >>. Il va très loin jusqu’à proposer les principaux axes à explorer pour diminuer ces fameuses émissions de 27 à 43 % en 2030 et de 40 à 70 voire à 84 % en 2050.
Migrer vers la sobriété énergétique
GIEC fait tout d’abord savoir que la sobriété consiste à réduire << notre consommation d’énergie, à faire des efforts dans le cadre de nos modes de vie et à modifier nos habitudes >>.
Cela inclue notamment la baisse du chauffage, la généralisation du covoiturage, la promotion des véhicules électriques ou encore des biocarburants ainsi que le télétravail. Ça inclue tout de même la diminution de << notre consommation de viande ou encore de tendre vers une production de produits durables et respectueux de l’environnement >>.
Enfin, le GIEC sensibilise les populations sur la nécessité de ne plus ouvrir aucun gisement de pétrole ou de gaz et d’arrêter toute déforestation.
Ainsi fait, le GIEC Considère à cet effet cette sobriété, « comme l’une des solutions mageures ».
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