COMIFAC : A Brazzaville, les experts de la communication et de l’information ont tout donné pour un plan de communication qui reflète les ambitions – environews-rdc

Les experts de la communication et de l’information réunis au sein du RECEIAC (Réseau des Communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique Centrale), ont clôturé à Brazzaville, le vendredi 30 juillet, les travaux de l’atelier sous régional d’accompagnement de la mise en œuvre de la stratégie de communication de la COMIFAC, de ses pays membres et partenaires dans le cadre des grands événements internationaux.

Remise du dossier de plan de communication à la ministre congolaise de l'Environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Des travaux qui ont permis la mise en place d’un plan de communication devant permettre à la COMIFAC (Commission des Forêts d’Afrique Centrale), d’affronter les trois grands évènements à venir, afin de faire entendre sa voix et peser dans les négociations.

 

« Au cours de ces quatre jours de travaux, vous avez donné le meilleur de vous-même en faisant montre d’assiduité et de perspicacité. Les rapports d’étapes de vos discussions qui me parvenaient au quotidien, me confirment, comme j’en avais la conviction, que les présentations qui vous ont été développées par les experts de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale et d’autres organisations et institutions partenaires, ont été d’un niveau très appréciable. De même, les échanges que vous avez eus entre vous tout au long de cet Atelier m’ont convaincu que les objectifs assignés ont été atteints », s’est félicité Arlette Soudan-Nonault, ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du bassin du Congo.

 

Le dernier rempart de la planète

 

Ce plan de communication repose sur les réponses concrètes qu’apportent les forêts du bassin du Congo dans la lutte contre les changements climatiques au niveau planétaire. Le bassin du Congo a pris la place de celui de l’Amazonie, par rapport à son rôle de puits de carbone. De ce fait, le bassin du Congo mérite mieux que sa place du dernier rempart de la planète lui soit reconnue et que des compassassions à la hauteur de ce qu’il donne lui soient payées non pas comme un don, mais plutôt comme un droit. Voilà la position qui va prévaloir lors de ces différents grands sommets qui se tiendront en 2021, à savoir, le Sommet mondial pour la Nature, la COP15 sur la Biodiversité et la COP26 sur le Climat.

 

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