L’ATIBT a mené de nombreuses actions presse tout au long de 2021, en grande partie autour de la marque Fair&Precious. Retour sur ces activités de plaidoyer en faveur d’un commerce durable du bois tropical.
L’année 2021 a vu la présence de l’ATIBT dans la presse européenne se déployer, notamment au travers d’une collaboration avec l’agence Open2Europe.
Une ou deux conférences de presse chaque année permettent d’entrer en contact avec des journalistes clefs de la filière bois tropical. La dernière, en octobre 2021, a concerné le développement du PAFC, récemment reconnu par le PEFC Council (comme nous le relayons également dans cette newsletter).
En parallèle de ces conférences, l’ATIBT communique tout au long de l’année sur le bois tropical certifié et la gestion durable. Au total, 10 communiqués de presse, 9 pitchs (intervention courte et synthétique) et 111 articles ont été rédigés et diffusés au cours de l’année écoulée, pour une audience cumulée de plus de 62 millions de personnes potentiellement touchées. L’ATIBT a aussi été invitée à participer à une vingtaine d’interviews, majoritairement en France, par des médias ciblés (Bois Magazine ou Forêt Mag par exemple), mais également par des médias grand public tels que BFMTV, Le Monde ou France Inter. Six pays ont ainsi été couverts par ces actions : la France bien sûr, mais aussi les Pays-Bas, l’Italie, l’Espagne, le Royaume-Uni et l’Allemagne.
Ces actions presse sont un pilier de la stratégie de l’ATIBT pour promouvoir non seulement la gestion durable des forêts du bassin du Congo, mais aussi une consommation européenne responsable du bois issu de cette gestion. La présence dans la presse de l’Association lui permet de faire valoir ses valeurs et de maintenir un dialogue vertueux et enrichissant avec les relais d’opinion et les décideurs publics. De nombreux efforts ont déjà été menés ces dernières années afin d’améliorer l’image des bois tropicaux certifiés et de démontrer les vertus, tant économiques, sociales qu’écologiques, de la gestion durable des forêts, mais ces efforts doivent être poursuivis sans relâche. L’exemple de l’exclusion du bois tropical par la SOLIDEO pour la construction du village olympique nous l’a malheureusement prouvé : les institutions européennes et les décideurs publics peinent encore à reconnaître l’intérêt de la gestion durable des forêts.
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