Les jeunes leaders, et organisations d’appui à la jeunesse de l'Afrique centrale se mobilisent pour leurs forêts, biodiversité et climat

Résumé: A l’issue de l’atelier sur les perspectives de mise en oeuvre de la réforme de la CEFDHAC tenu à Douala du 21 au 22 mai 2008, et à la suite de la Cefdhac de Kigali, il est apparu indispensable d’organiser des assemblées générales pour les réseaux des jeunes, celle des femmes, des parlementaires et des populations autochtones en vue de mettre en place les structures légitimement reconnues et de désigner leurs représentants légitimes. En savoir plus...

 

Avenir du Bassin du Congo compromis ?

 

Un appel aux partenaires du PFBC de placer la jeunesse au cœur des interventions dans le Bassin du Congo, ce qui serait un moyen sûr d’assurer la durabilité aux investissements et participation au développement durable des pays concernés.  Un appel lancé pour une implication active et directe des jeunes leaders et organisations d’appui à la jeunesse dans la mise en œuvre des projets et programmes des partenaires. L’avenir de l’Afrique centrale est en jeu, est sur la scène d’une part, et celui de la planète entière compte tenu des contributions, services écosystémiques du deuxième poumon du Globe qu’est le Bassin du Congo.

 

Les  jeunes leaders et organisations d’appui à la jeunesse d’Afrique centrale à travers le Réseau des jeunes leaders pour la gestion durable des écosystèmes forestiers et humides d’Afrique centrale (REJEFAC)  sont mobilisés, engagés dans chacun des dix pays au sein des écoles primaires, secondaires, et dans des universités, dans des milieux professionnels, dans les villages et communautés, dans les collectivités locales décentralisées, des villes  à travers plusieurs projets, programmes et actions organisées au niveau  local, national, régional et international d’envergures pour leurs forêts,  la biodiversité et le Climat.

 

Dans cet article, nous reviendrons sur :

  • les fondamentaux de la création du REJEFAC ;
  • engagement sur l’honneur…avec le slogan ‘ Payé ou pas, je m’engage pour ma communauté ;
  • REJEFAC - Une mobilisation régionale en rang serré ;
  • l’urgence de la mobilisation des financement ;
  • les enjeux de sa structuration au niveau local , national et régional.

 

(1) les fondamentaux de la création du REJEFAC,

Un dicton nous dit "la jeunesse est le fer de lance de la nation", « c’est l’avenir de demain ». Les  jeunes leaders et organisations d’appui à la jeunesse d’Afrique centrale  sont engagés  aujourd’hui et pas demain, pour leurs forêts, biodiversités et climat. Ils sont activement déjà impliqués et combatifs dans chacun des dix pays d’Afrique centrale afin d’éviter un héritage empoisonné. Ils sont bien conscients que l’espoir d’Afrique centrale et l’avenir de ces écosystèmes forestiers repose sur la jeunesse malgré de profondes mutations de notre temps.

 

À cet effet, depuis quelques années, la jeunesse de nos pays du bassin du Congo se bouge pour un droit élémentaire, celui de pouvoir connaître demain une Planète viable et vivable. Les menaces sont graves et sérieuses : déstabilisation de bases de la vie comme, les écosystèmes forestiers,  le climat et la biodiversité, relance de la course aux armements, augmentation des inégalités, la dégradation sanitaire, Covid-19 et certains États qui s'orientent vers le mauvais sens…Face à ces risques majeurs, le déni, le refoulement, l’ignorance ne sont plus possibles. Pour de plus en plus de jeunes, les yeux se dessillent, le consumérisme béat n’est plus acceptable, l’angoisse devient palpable, les apprentissages scolaires sont questionnés sous l’angle de leur utilité, la mobilisation devient une évidence.

 

Un mouvement est né depuis les années 2008, le  Réseau des jeunes des forêts d'Afrique Centrale (REJEFAC) - souhaitons-lui longue vie. Car si le « monde adulte » a affirmé voici un bon moment déjà les Droits des générations futures, selon la célèbre phrase attribuée à Antoine de Saint-Exupéry: «Nous n’héritons pas de la Terre de nos parents, mais l’empruntons à nos enfants» préfigurant l’idée de la durabilité, il appartient aux jeunes de les revendiquer comme une évidence, élémentaire, biologique, base de tous les autres droits (et devoirs !). Mais tout mouvement social pour peser sur les événements et ne pas être un feu de paille doit se donner 1) une structure et des porte-parole et 2) une capacité de formuler des revendications concrètes.

 

Bien vouloir télécharger les documents ci-dessous :

 

2) Engagement sur l’honneur…Payé ou pas payé, je m’engage pour ma communauté

 

      a-Engagement des jeunes comme volontaires lors des Réunions des Parties et conférences du PFBC depuis juin 2015

 

La participation des volontaires à la rencontre du Partenariat des Forêts du Bassin du Congo

(PFBC) est devenue une tradition. La première participation des jeunes volontaires à la 15 ème édition du PFBC en 2015 au Palais des Congrès de Yaoundé au Cameroun a été « un coup d’essai, un coup de maitre ». Cette première participation réussite a encouragé la Facilitation de l’Union Européenne du PFBC de continuer à solliciter les services des jeunes volontaires. C’est ainsi qu’en 2015, les jeunes volontaires du Rwanda ont été sollicités pour la 16 ième édition qui s’était tenu dans ce pays. Vu la qualité de service rendu par ces jeunes, la Facilitation de l’Union Européenne du PFBC a une fois de plus faire appel aux jeunes volontaires pour la 17 ième édition qui s’est tenu du 13 au 27 Octobre 2017 à l’Hôtel Sawa  dans la ville Douala au Cameroun . La particularité de cette troisième participation a été l’implication directe des volontaires dans l’organisation et le déroulement des travaux. Trois jours avant le début de la rencontre, des réunions leur impliquant ont été organisé et ils ont immédiatement commencé les travaux préparatoires relatifs à la logistique.

 

C’est sur la base de la liste des inscrits comme volontaire sur le site du PFBC que la sélection a été faite. L’approche genre a été prise en compte durant cette sélection afin de d’encourager les filles et leur donner l’occasion de s’exprimer. Au finish, trente un jeunes provenant des régions de l’Adamaoua, du Centre et du Littoral ont été retenus. L’AJVC (Initiateur de ce projet), la JVE, le REJEFAC, le CADDE et le REFADD sont les organisations aux quelles appartenaient ces volontaires dont près de 60% a été constitué des filles. Durant la rencontre, les jeunes ont été actifs dans plusieurs activités. Concernant la logistique, ils se sont occupés du montage des badges et de la confection des kits des participants. Dans les salles de réunion, ils se sont assurés de la présence et du fonctionnement de la sonorisation et de la présence du petit matériel nécessaire pour le confort des participants.

 

Les jeunes ont tenu avec une réussite totale le secrétariat où ils se sont occupés des impressions, des photocopies, du classement des documents et autres. Leur présence massive et active à l’accueil a permis de faciliter l’enregistrement et l’orientation des participants. Puisque la répartition des volontaires dans les différentes taches tenait compte de leur profil, ceux qui avaient une capacité technique et scientifique sur les thématiques discutées ont été affectés soit dans les collèges, soit dans les Stream et soit auprès de certaines personnalités. C’est ainsi que dans le Stream 1 sur la gouvernance forestière, le Stream 2 sur la biodiversité et le Stream 3 sur les changements climatiques les « experts juniors » en plus d’assurer la logistique, ont assisté les rapporteurs dans la prise de note et la production des rapports. Le même dynamisme de ces jeunes volontaires a été observé au sein des collèges. Certains Experts et Responsables de la Facilitation de l’UE ont été assistés par des volontaires qui soit jouaient auprès d’eux le rôle de traducteur, soit leur assistait dans la prise de note et soit assuraient la logistique.

 

Les jeunes volontaires du Cameroun ont saisis cette occasion pour renforcer leur capacité dans l’organisation technique et logistique des grands évènements. Ils ont amélioré leur connaissance sur les grandes thématiques et projets relatives à la protection de l’environnement et à la gestion durable des forêts du Bassin du Congo. Certains ont noué des contacts personnels avec des personnalités.

Le PFBC a aussi été une opportunité pour les organisations de jeunesses sélectionnées de

Communiquer en off avec les participants sur leur structure. Quant au REJEFAC, la communication a principalement porté sur la présentation de son nouveau cadre stratégique. Cette communication a Commencé à la Radio environnement. Par la suite, le REJEFAC par des contacts be to be Avec Documents à l’appui, a rencontré les experts, les personnalités, les bailleurs, les partenaires et bien D’autres. Il leur a présenté son cadre stratégique constitué de quatre Axes Stratégiques (AS). L’AS 1concerne les questions de paix et de sécurité autours des aires protégées et dans la gestion des ressources naturelles et l’AS 2 est relatifs au reboisement, à la conservation des forêts et à la restauration des sols dégradés. Quant à l’AS 3, il s’intéresse aux questions de gestion intégrée des ressources en eau tandis que l’AS 4 concerne tout ce qui est transversale à savoir le renforcement de capacité, l’appui financier et le transfert de technologie.

 

Il faut aussi noter la participation du Rejefac en Novembre 2018 à la rencontre du PFBC à  Bruxelles (Belgique), et en  Décembre 2019 à Yaoundé (Cameroun).

 

        b- Des jeunes mobilisés lors des célébrations des journées internationales

 

Il est important de noter la participation habituelle des organisations membres du Rejefac et de la coordination du Réseau aux climate talks (COP CLIMAT), ainsi qu’à celles relatives à la CDB – COP Biodiversité. En vue de préparer la jeunesse à ces débats internationaux, l’AJVC, secrétariat technique du REJEFAC a organisé successivement la Cop in my city (2015 – 2016) ; et la COP CHEZ NOUS 2017, 2018, 2019 et au regard de la situation du COVID 19, en octobre prochain, un online Webinar sur la préparation des jeunes aux deux COPS avenir, au new deal for nature du WWF, et le POST 2020.

 

      c- Engagement pour les conférences des parties : Comment les jeunes hommes et jeunes femmes leaders du Bassin du Congo agissent- ils sans moyens conséquents et se préparent-ils aux prochaines échéances des COPS ?

 

L’AJVC (www.ajvc.org) qui assure le secrétariat technique du REJEFAC, organise chaque année des actions dans les domaines énergétiques (PODC), des campagnes de sensibilisation et d’éducation environnementale, et cette année, nous avons décidé de reprogrammer l’activité de simulation de la COP CHEZ NOUS 2020 en début d’année 2021 et d’organiser un webinaire en octobre 2020 prochain sur l’engagement des jeunes leaders par rapport à leur implication sur les questions de biodiversité.

 

À travers des actes individuels et collectifs, les jeunes font tout ce qu’ils peuvent pour apporter leur pierre à l'édifice. Les organisations de la société civile et les mouvements pilotés par des jeunes se déploient tous azimuts. La jeunesse mobilise les habitants pour mieux les protéger et soutient les actions de veille. La lutte contre les changements climatiques nécessite une action forte, globale et ambitieuse. La participation des jeunes générations est impérative, et la COP 26 et la COP 15 est déterminée à accueillir la « Conférence des jeunes pour le climat", ainsi que la pré-COP et autres activités de sensibilisation. La reprogrammation des COPs permettra que ces actions au niveau local et régional soient pleinement dédiées aux questions à débattre lors de ces conférences internationales et de disposer de plus de temps pour les préparatifs nécessaires. Nous continuerons à travers nos actions de sensibilisation des masses, de plaidoyer, à travailler avec toutes les parties concernées pour accroître l'ambition en matière de climat, renforcer la résilience et réduire les émissions.

 

(3) Le REJEFAC  - Une mobilisation régionale en rang serré : la Comifac et son programme d’appui GIZ –POST 2020…

Doter la jeunesse de compétences de base pour qu’elle assure une transition vers une société vivant en harmonie avec la nature :

Le modeste cadre du Cercle ELAEIS de Kinshasa, en République démocratique du Congo a abrité, du 11 au 14 mars 2020, l’atelier sous régional de finalisation de la stratégie et du plan opérationnel du Rejefac, organisé avec le soutien technique et financier de la COMIFAC et de son projet d'appui de la GIZ. Quelques semaines, avant l’arrivée du COVID-19 dans le monde entier, notre réseau des Jeunes leaders pour la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale (REJEFAC) s’est réuni fort heureusement quelques semaines avant le confinement. Une trentaine de jeunes leaders originaires des 10 pays de l'Afrique Centrale ont pris part à un atelier sous régional du REJEFAC qui s'est tenu à Kinshasa, la capitale de la RDC. L'objectif global assigné à cet atelier étant de préparer la contribution des jeunes du REJEFAC sur le processus d’élaboration du cadre stratégique de la biodiversité pour l’après 2020 et de sensibiliser les jeunes sur la conservation de la biodiversité dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage. Le Forum du Rejefac de Kinshasa a offert une tribune à l’engagement actif des jeunes leaders aux côtés des États membres pour discuter du rôle que les jeunes, hommes et femmes, pouvaient jouer dans la construction de communautés rurales et urbaines durables et résilientes qui contribuent au Programme de développement durable pour 2030 .

Cette rencontre, a permis de :

  • d’édifier les membres du REJEFAC sur le processus d’élaboration du cadre stratégique de la biodiversité post 2020 ;
  • de recueillir et documenter les contributions des jeunes du REJEFAC pour l’élaboration du cadre stratégique de la biodiversité pour l’après 2020 ;
  • de renforcer les capacités des jeunes d’Afrique centrale sur la conservation de la vie et de l’habitat sauvage ;
  • de développer un cadre d’accompagnement à long terme en faveur de l'engagement des jeunes du REJEFAC aux activités de conservation des espèces sauvages et aux processus décisionnels de la CITES ;
  • de définir une démarche consensuelle de la redynamisation du REJEFAC dont la stratégie sera actée en prenant en compte les thématiques nouvelles comme la Réduction des Risques et Catastrophes naturelles, l’agriculture intelligente et la gestion de déchets ;
  • de valider le Plan de travail annuel 2020 du REJEFAC sur la base du Cadre d’opérationnalisation de sa Stratégie Régionale et décliner celui-ci en activités et/ou en actions au niveau régional et national.

 

Bien vouloir télécharger les documents ci-dessous :

 

  1. Communiqué final REJEFAC – 11 au 14 mars 2020.
  2. Rapport Final Atelier REJEFAC du 11 au 14 Mars 2020.
  3. Feuille de route du Réseau des jeunes des forêts d'Afrique Centrale (REJEFAC)
  4. Plan opérationnel du Réseau des jeunes des forêts d'Afrique Centrale (REJEFAC)
  5. Liste des membres AG Kinshasa 2020

 

(4) Comment, où et avec qui mobiliser les financements pour agir : Un parcours de combattant pour les jeunes leaders et les organisations d’appui à la jeunesse !

 

Le Fonds vert pour le climat a déjà débloqué 3 milliards d’euros d’aide aux pays du Sud, comment les jeunes y iront accès ??? Des investissements des bailleurs  mettant à l'écart les initiatives et projets des jeunes  leaders et donc pas durable...

L’injustice intergénérationnelle ne doit pas seulement interroger le futur, mais aussi le passé et le présent. Comment défendre ensemble le climat global quand certains jeunes, bébés et leurs parents se noient par milliers dans les abysses de la Méditerranée,  tandis que d’autres manifestent à Bruxelles, à Paris et à Québec, main dans la main avec leurs parents et enseignants ? Le mouvement climatique ne peut faire écho que dans des pays en carence de biens essentiels et pré-matérialistes, étant donné qu’une telle mobilisation y apparaît comme une préoccupation à la fois de luxe et post-matérialiste, non parce qu’elle est infondée, mais parce que l’esprit s’élève sur l’urgence du climat lorsqu’il est libéré de l’emprise des carences du quotidien : ventre affamé n’a point de climat ! Les peuples et territoires pauvres ainsi que leurs populations et descendances sont condamnés à la double peine.

 

Qu’est-ce que les « générations des townships et Elobi » africaines ont de commun avec la « génération climat » européenne si ce n’est qu’elles habitent la même Terre dont le climat se dérègle ? Ces jeunesses pauvres d’Amérique latine et ceux des pays du Sud paieront-ils le prix fort du dérèglement climatique, contrairement à la « génération climat » européenne ? Avec pour objectif de favoriser la gestion durable et équitable des écosystèmes forestiers d'Afrique Centrale à la participation des jeunes. Les enfants congolais parfois ensevelis vivants dans les mines artisanales auprès desquelles s’approvisionnent les multinationales occidentales ont-ils le privilège de « penser climat » lorsqu’ils doivent s’activer à réunir trois pièces pour faire un sou ? Les questions des accaparements des terres ? Comment et qui finance les projets innovants des jeunes leaders et des acteurs de la société civile dans la sous-région ?

 

(5) Les enjeux

 

Urgent appel aux partenaires du PFBC et aux Etats et gouvernements : Nous avons besoin de vous !!! Le temps est court pour la Jeunesse du Bassin du Congo, mais la route est encore longue.

 

Un appel aux partenaires du PFBC  et aux gouvernements et Etats respectifs  est envoyé de la part du REJEFAC en vue de placer la jeunesse au cœur des interventions dans le Bassin du Congo, moyen sûr d’assurer la durabilité aux investissements.  Un appel à une implication active et direct des jeunes dans la mise en œuvre des projets et programmes des partenaires. L’Avenir de l’Afrique centrale est en jeu et de part, celui de la planète entière compte tenu des contributions, services écosystémiques du deux poumons du Globe, le Bassin du Congo. Les jeunes d’Afrique centrale à travers le Réseau des jeunes des forêts d'Afrique Centrale (REJEFAC)  sont mobilisés, engagés dans chacun des dix pays d’Afrique centrale, dans les écoles primaires et secondaires, dans des universités, dans des milieux professionnels  et à travers plusieurs projets, programmes et actions locales, nationale, région et internationale d’envergures pour leurs forêts, biodiversité et le Climat.

 

La Conférence des Parties est l'entité de gouvernance de la Convention sur la biodiversité et sur les changements climatiques. La conférence des Nations unies sur les changements climatiques COP 26 qui devait se tenir à Glasgow en novembre a été reportée en raison de COVID-19. La conférence COP 15 qui devait se tenir à Kunming en Chine du 15 au 28 octobre, a aussi été reportée à une date ultérieure. Pour être utile, le nouveau cadre adopté à la COP 15 devra apporter une valeur ajoutée pour réduire ces pressions. Patricia Espinosa, Secrétaire exécutive des Nations unies sur le changement climatique a déclaré : « Le COVID-19 est la menace la plus urgente à laquelle l'humanité est confrontée aujourd'hui, mais nous ne pouvons pas oublier que les changements climatiques sont la plus grande menace à laquelle l'humanité est confrontée à long terme. « Bientôt, les économies vont redémarrer. Ce sera une opportunité pour les pays de mieux se redresser, d'inclure les plus vulnérables dans ces plans et de façonner l'économie du XXIe siècle de manière propre, verte, saine, juste, sûre et plus résiliente.

 

Disponible en téléchargement :

  1. Feuille de route du REJEFAC du 11 au 14 mars 2020.
  2. PO Final du REJEFAC  20 Mars 2020 -  SPT Rejefac.
  3. Mandat Rejefac Vie sauvage.

 

Pour en savoir plus, bien vouloir contacter la coordination régionale du REJEFAC :

Ms Tamoifo Nkom Marie

Présidente AJVC - REJEFAC|  DAF PODC
Siège  social : Immeuble Anta Pressing - Oyomabang.
Tel: Cell:
00237 699846113 / 675384335 |
Email:
tamoifo@gmail.com | ajvc2010@gmail.com
www.solafrica.ch/climate-caravane

 

Bien vouloir télécharger les documents ci-dessous :

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