À travers une série d’activités importantes organisées au Congrès Mondial de la Nature de l’UICN, la COMIFAC, ses pays membres et partenaires ont appelé la communauté internationale à une coordination des actions pour un flux financier adéquat pour la préservation des écosystèmes et tourbières du Bassin du Congo, en tant que solution rentable fondée sur la nature.
Une vue de la session de haut niveau au Space Center Hall 3 des expositions au Congrès
Co-organisé par le Gouvernement Français et l’UICN, le Congrès mondial de la nature qui se tient à Marseille, du 03 au 11 Septembre 2021, rassemble plusieurs milliers de leaders et décideurs issus de gouvernements, de la société civile, des peuples autochtones, du secteur privé, et des chercheurs de plus de 160 pays, dans le but de préserver l’environnement et de proposer des solutions concrètes pour relever les défis actuels de notre planète.
Au cours de ce Congrès, les grandes priorités de l’Agenda Mondial en matière de conservation de la Biodiversité et de lutte contre le changement climatique sont définies et votées par l’Assemblée Générale des membres.
La série d’activités organisées par la COMIFAC, ses pays membres et partenaires a pour objectif de faire entendre la voix du Bassin du Congo, et d’influer sur les décisions prises afin que la préservation du Bassin du Congo soit inscrite dans l’Agenda mondial comme une priorité absolue et rentable sans laquelle, il n’est pas possible d’atteindre les objectifs mondiaux de conservation de la biodiversité et de limitation du réchauffement climatique.
Le Stand « COMIFAC - CONGO BASIN INITIATIVES » attire de nombreux visiteurs et acteurs influents au Congrès Mondial de l’UICN. Aux troisièmes jours, déjà plus d’une centaine de visiteurs qui viennent découvrir et comprendre le Bassin du Congo et ses enjeux pour la conservation de la biodiversité et la régulation du climat mondial.
Trois activités principales ont marqué la journée spéciale du BASSIN DU CONGO au Congrès ce 05/09/2021, (i) la session de dialogue politique de haut niveau, entre les pays d’Afrique Centrale et les Responsables de haut rang des mécanismes financiers internationaux (GEF et GCF), (ii) une conférence de presse et, (iii) une deuxième session de haut niveau avec les représentants des pays Bailleurs bilatéraux.